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Wingen-sur-Moder est une commune française, située dans le département du Bas-Rhin et la région Alsace. La commune fait partie du Parc naturel régional des Vosges du Nord.
Géographie
Wingen-sur-Moder est un village situé à 10 km au nord-est de La Petite-Pierre. Le village est situé dans la haute vallée de la Moder. Son ban communal jouxte la limite départementale avec la Moselle.
Histoire
Au temps de l’Alsace Romaine, Wingen faisait partie de la cité de la peuplade des Triboques. En bordure de l’ancienne Via Bassoniaca, route forestière entre la province Belgica et celle de la Germania, son finage est jalonné de menhirs : Le Spitzstein, le Drei-Peterstein, et le Breitenstein. Au XVIIIe siècle, le Breitenstein fut transformé en croix surplombant les figures des douze apôtres sculptées sur les quatre faces de la pierre, d’où son appellation de Pierre des douze apôtres. Le Drei-Peterstein marque la limite entre les seigneuries de Bitche, Lichtenberg et La Petite-Pierre.
Les premières indications sur Wingen apparaissent dans les chartes de l’Abbaye de Wissembourg en 718, lors de sa donation en faveur de l’abbaye par Chrodoin, noble Franc, et s’appelle alors Wingibergus. En 742, l’on cite Wigone Monte.
Au XIVe siècle, Wingen fut encore le théâtre de nombreux faits guerriers, notamment en 1378 lors de la guerre qui opposa Henri de La Petite-Pierre aux comtes de Linange. En 1382, le comte donne Wingen en fief à l’empereur. À cette époque, Wingen est un important lieu de passage de la vallée de la Moder à la vallée de l'Eichel. L’empereur y installe un poste de péage. Son importance démographique est établie. Cependant sa population régresse jusqu’au milieu de XVIe siècle. Après le passage des troupes engagées dans les guerres de religion, la situation du village n’est pas brillante : seuls deux fermes seigneuriales, le moulin et l’église semblent subsister à cette époque.
En 1314, Hugues de Fleckenstein, cousin de Nicolas de La Petite-Pierre, se coalise avec d’autres seigneurs de la Basse-Alsace et du Palatinat, contre la ville de Strasbourg, dont les soldats brûlent Wingen, appelé Winden, le vieux Puberg et Speckwiller (deux villages disparus), et Hinsbourg, lors de leur marche vers La Petite-Pierre.
Dès 1622 et jusqu’en 1648, la guerre de Trente Ans et la peste font des ravages laissant Wingen dévasté et dépeuplé. Pour attirer de nouveaux habitants, le comte instaure un nouveau règlement forestier qui autorise la population à ramasser le bois mort dans les forêts pour les besoins personnels. Il prévoit également la livraison à titre gracieux de bois de construction. Les habitants peuvent également faire paître le bétail dans les forêts.
Ces avantages attirent de nombreux habitants en grande partie d’origine suisse : marcaires, gardiens de troupeaux, employés dans la ferme seigneuriale de Wingener Hof. La mention de la présence d’un pasteur, en 1659, indique que le village se développe à nouveau.
Le véritable renouveau de Wingen aura lieu grâce à l’installation de deux verreries : celle de la Neuhütte en 1708 et celle du Hochberg en 1715, créées par des maîtres verriers du Kahlenberg (Rosteig).
La verrerie du Hochberg, construite en 1715 sous l’impulsion du comte de Hanau-Lichtenberg et du verrier Jean Adam Stenger, est rattachée à Wingen à la Révolution. En 1816, suite à un mariage, la verrerie du Hochberg passe entre les mains de la famille Teutsch. À cette époque, la fabrication de verres à vitre de couleur est introduite.
La réduction des droits forestiers à partir de 1860 entraîne la fermeture de l’usine en 1868. Les verriers émigrent vers les centres verriers lorrains ou la Westphalie, l’Espagne ou le Mexique.
Mais il existe, bien avant ces départs, des migrations vers d’autres régions ou pays verriers : Murano en Italie, Gijon dans la province espagnole d’Oviedo, le canton de Berne ou de Soleure, la Seine-Maritime, le Palatinat, La Bohême et l’Amérique du Nord.
Un demi siècle plus tard, René Lalique fonde la verrerie d’Alsace et renoue ainsi avec la tradition verrière de Wingen. La cristallerie Lalique, qui compte plus de 350 employés, exporte ses produits dans le monde entier.
Une autre industrie de luxe fabrique des couverts et d’autres articles en argent : il s’agit de l’orfèvrerie Gulden, fondée en 1925, par un enfant de Wingen, Alex Gulden.
Les événements historiques du XIXe siècle n’affectent pas directement la commune. Mais Wingen sera le théâtre de durs combats pendant la Seconde Guerre mondiale, qui se déroulent entre décembre 1944 et janvier 1945 dans le cadre de l’opération Nordwind. Des habitants de Wingen y laissent leur vie et de nombreuses maisons furent détruites.
Personnalités liées à la commune
- Édouard Teutsch.
Fils de Jacques Henri Teutsch, Édouard (1832-1908) suit des études de droit à Paris, mais revient à Wingen en 1855 s’occuper de la verrerie avec son frère Victor. Élu conseiller général en 1869, puis en 1871 à l’assemblée de Bordeaux, il fait partie des députés protestataires, réunis autour de Léon Gambetta pour s’opposer à l’annexion de l’Alsace. En 1874, il est élu comme député protestataire aux élections du Reichstag où il prononce, en présence de Bismarck, un discours qui provoque une explosion de colère. Quittant définitivement Berlin, il se retire en France en 1879 pour devenir trésorier-payeur à Auch, Mâcon, Épinal, puis Nancy où il prend sa retraite. À quelques centaines de mètres de la verrerie et du manoir familial [1], Édouard Teusch fait aménager un cimetière, qui renferme une douzaine de tombes de membres de sa famille, ainsi que trois tombes de domestiques.
- René Lalique.
René Lalique, né en 1860, était un joaillier célèbre. Il fit ses études à l’école des Arts décoratifs de Paris, puis à l’école des Beaux-Arts en Angleterre.
À son retour à Paris en 1878, il dessina des modèles de bijoux pour les plus grands bijoutiers de la rue de la Paix, tels Cartier, Boucheron, etc.
En 1891, il s’établit à son compte. Grâce à son goût très délicat, à sa très grande imagination artistique, il obtient vite un grand succès lors notamment des présentations dans les salons des « Artistes français ».
En 1905, il fit construire son hôtel particulier et y installa ses ateliers. Très attiré par la nature, il y chercha son inspiration et utilisa des matières les plus variées, telles nacre, ambre, agate, corindon ou autres pierres dures aux nuances translucides qu’il sertit dans des montures émaillées.
Ses premières créations de verrier furent des flacons de parfum destinés au parfumeur « Coty ». C’est pour les réaliser qu’il fit l’acquisition, en 1909, de la petite verrerie de Combs-la-Ville.
C’est près des grands centres verriers lorrains, au Nord de l’Alsace, à Wingen-sur-Moder, qu’il trouva une main-d’œuvre importante et spécialisée. En 1919 au sortir de la guerre, le Gouvernement cherchant à redonner vie à l’industrie de ces régions redevenues françaises, René Lalique obtient des facilités d’implantation sur une parcelle de la forêt domaniale.
En 1921, premier four allumé, la Cristallerie Lalique qui prenait le nom de cristallerie d’Alsace jusqu’en 1962, est venu assurer, après une interruption de 50 ans, la continuation de la tradition verrière de Wingen-sur-Moder.
- Marc Lalique.
Né en 1900, Marc Lalique, fidèle collaborateur de son père, avait assuré depuis 1922 la charge des réalisations techniques des créations de la cristallerie. Technicien très averti, ayant une connaissance parfaite des effets qu’il peut obtenir de la matière, fidèle dans ses créations à la conception originale particulière au style « Lalique », il réalise de nombreux modèles qui figurent parmi les plus connus de l’importante collection actuelle. Sous son impulsion, malgré certaines difficultés, le cristal Lalique va devenir l’un des fleurons de l’art cristallier et du bon goût français. Collaborant étroitement avec un personnel très qualifié et qui possède comme lui l’amour du métier, il met en œuvre des techniques sans cesse renouvelées qui lui permettent des créations audacieuses et le recherche d’une qualité toujours améliorée.
Um musée ouvrira en 2009.
- Marie-Claude Lalique.
La petite-fille et la fille de ces deux grands artistes fut élevée dans le culte de la beauté et de la passion du travail. Après avoir fait l’École nationale supérieure des Arts décoratifs de Paris, elle vint travailler aux côtés de son père. Imprégnée des traditions de la maison, elle sait, tout en les conservant, donner une impulsion nouvelle à la création des modèles. Tout en restant fidèle au cristal, elle crée des bijoux, en pensant qu’il est aussi important de s’attacher à imaginer des formes recherchées, voire sophistiquées, que de faire étalage des pierres de grande valeur.
Dans ce but, elle employa des pierres semi-précieuses et des émaux pour la réalisation de ses œuvres.
- Alex Gulden.
C’est par un beau jour de 1925 qu’un jeune homme de 18 ans, Alex Gulden, décida de fonder sa propre affaire.
Jusqu’en 1934 ce fut une entreprise de négoce, presque exclusivement basée sur une clientèle hôtelière alsacienne.
En 1934, sous le nom de « Manufacture de couverts et orfèvrerie d’Alsace A. Gulden », son fondateur franchit un nouveau pas en construisant un atelier de galvanoplastie, de polissage et d’avivage. Les couverts, la platerie et autres articles de table, achetés à l’état brut chez divers estampeurs français, purent être argentés et finis dans ses propres ateliers.
L’entreprise, encore fort modeste à cette époque, comptait outre son fondateur, ses parents et son épouse, deux collaborateurs. L’ascension fut stoppée par la guerre. Pendant les années noires, l’entreprise a vivoté. Faute de matières premières, la production fut arrêtée en 1940. Quelques mois plus tard, et jusqu’à la fin de 1944, la petite entreprise a pu subsister en argentant à façon des contacts et autres pièces électriques, pour le compte de la Société Siemens qui possédait une filiale à Guebwiller.
Le 6 janvier 1945, lors de la bataille de Wingen, l’atelier et la maison d’habitation furent presque totalement détruits.
Dès le printemps 1945, M. Gulden, armé de beaucoup de courage, entrepris de colmater les brèches, et vers la fin de cette même année la production avait repris, à un rythme modéré certes, car la matière était encore très rare. Mais petit à petit la production se développait et, avec elle, l’effectif des collaborateurs, qui passait de deux à dix, puis vingt, pour dépasser la trentaine dès la fin de 1948.
Un pas décisif fut franchi en 1950 avec la construction d’un hall destiné à abriter un atelier d’outillage et d’estampage.
L’acquisition des presses et la formation d’un personnel particulièrement qualifié n’a certes pas été une tâche facile, mais a donné à l’entreprise une indépendance totale par rapport à ses anciens estampeurs, de même qu’au niveau de la création et fabrication de ses propres modèles. Parallèlement la clientèle se développait et l’entreprise sut se tailler une bonne place sur le plan national et même au-delà de nos frontières, en créant notamment des succursales à Strasbourg et Paris, et en diversifiant son programme de fabrication.
Les Ets Gulden organisent tous les ans en août des journées portes ouvertes de leur usine pour les touristes et les amateurs.